H.- PATROS

 A.- Patro des garçons.

 

B.- Patro des filles Saint-Joseph.

  1. C’est en avril 1948 qu’il prit naissance. Le mouvement a été créé à l’initiative et au dévouement de Marie-Rose D’HAESE (nièce de l’abbé DEPAUW), assistée d’Andrée HENNEQUIN et de Lucie DUROISIN.

    Groupe des premières patronnées :



    A leur suite, plusieurs autres jeunes filles – après avoir obtenu leur brevet de dirigeantes – se sont relayées pour continuer l’œuvre commencée. Les noms de Nelly VERCAUTEREN, Nicole VICO, Marijke DEFOORT, Jacqueline ESCALIER sont régulièrement mentionnés dans les reportages. Mais une dirigeante inlassable et appréciée fut sans conteste Sœur BEATRICE.

    Groupe des patronnées de 1971 à 1976 :

       

       

       
     
  2. En 1972, un local (une ancienne classe de l’école des garçons) fut attribué par le collège échevinal au groupe des patronnées. Dans la lettre de remerciements du 26/11/1972 adressée au bourgmestre apparaissent les signatures suivantes :


     
  3. En 1975, avec deux ans de retard (problème de local disponible), fut célébré l’anniversaire des 25 ans du Patro, et ce en présence des anciennes dirigeantes :

       
     
  4. Outre les après-midi du dimanche, diverses activités se sont déployées, entre autres :
     
    1. les réveillons de Noël :

         
       
    2. les fêtes de Sainte-Catherine :

         


       
    3. les soupers des rois, des séances récréatives,
       
    4. …mais surtout : les camps de vacances :

         

         

         

         
       
  5. En 1976, Sœur BEATRICE, qui était titulaire de la classe gardienne de l’école ND de Fatima depuis plus de quatre lustres reçut de ses supérieures un ordre de transfert pour un établissement de Seneffe. Cette religieuse était sympathiquement estimée et malgré l’ardent désir de la population de la conserver, rien n’y fit. Pour le Patro, ce fut une immense perte.


     
  6. Toutefois, après son départ, le groupe – qui comptait encore une quarantaine d’unités – fut pris en mains par Cécile BEUDIN et elle en assura en tout cas la viabilité, puisqu’en 1986 – dernier document en notre possession – différentes sections coexistaient encore et des après-midi de fête étaient suivis de soupers au Foyer de l’amitié.